Est-ce qu’il y avait une facette du programme de résidence qui était inattendue et qui a nécessité une adaptation de votre part ? 

• Aucunement.

 

Suivez-vous les recommandations que vous donnez à vos patients ?

• En majorité

• Oui

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Selon vous, quelle est la pratique médicale la plus difficile?

• Medecine familiale

• Je ne vois vraiment pas - tout dépend du contexte

 

Selon vous, quelle est la pratique médicale la plus facile ? 

• Je ne peux dire 

• Je ne vois vraiment pas - tout dépend du contexte

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Quelle est votre boisson alcoolisée préférée ?

• Aucune en particulier réellement ; j’aime essayer quelque chose de nouveau à chaque fois.

 

À quoi ressemble une semaine typique ? Passez-vous plus de temps à voir des patients ou devant un ordinateur à analyser des images ?

• Habituellement en médecine nucléaire générale nous voyons des patients le matin (stimulations myocardiques, ganglions sentinelles) et interprétons les images en après-midi. En TEP c’est de l’interprétation d’image toute la journée. Durant les temps libres entre les cas, nous signons les rapports des examens que nous avons dictés et allons occasionnellement chercher un café au salon des professeurs pour nous dégourdir les jambes. Habituellement il y a 3-4 jours de travail clinique par semaine et le reste en activités académiques (développement de cours, préparation de présentations, recherche, réunions, éducation continue...). Aussi les nucléistes participent habituellement à 1 ou 2 CTC par semaine. Pour ma part j’ai un profil atypique puisque clinicien chercheur, alors 50% de mon temps est assigné à la recherche spécifiquement (parcours que je recommande !).

 

Quels traits de votre personnalité sont typiques de votre profession ?

• Sympathique, aiment le ‘problem solving’, aiment les sciences de base (physique, chimie, informatique), calme, curiosité scientifique.

 

Seriez-vous ami avec vos collègues si vous les aviez rencontrés en dehors du travail ?

• Oui pour plusieurs

• Probablement pas pour la plupart, mais c’est la diversité de notre groupe qui le rend si enrichissant :)

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Quel est le facteur le plus important selon vous pour réussir une résidence dans votre spécialité? 

• La passion

• L’étude et la pratique (pas de secret). L’attrait pour la recherche et la curiosité, c’est une spécialité en pleine évolution, il faut se tenir très informé.

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Quel est le facteur le plus important selon vous pour réussir une carrière dans votre spécialité?

• Aimer la physiologie

• L’étude et la pratique (pas de secret). L’attrait pour la recherche et la curiosité, c’est une spécialité en pleine évolution, il faut se tenir très informé.

 

Quel est le meilleur conseil que vous avez reçu ?

• Choisi ta spécialité en fonction de ce que tu aimes et non de la ville ou tu souhaites vivre après

• Le patient doit toujours rester au centre de ton raisonnement.

 

À quoi ressemble une semaine typique ? Passez-vous plus de temps à voir des patients ou devant un ordinateur à analyser des images ?

• Environ 30% avec des patients ( persantin, hyperthyroidie, cancer thyroidien, traitement au radium et autres, techniques de ganglion sentinel pour cancer du sein, melanome, orl,, injections insuline et heparine ..) Et le reste en analyse d'images a l'ordinateur et en discussion avec les consultants

• La plupart du temps devant un ordinateur à analyser des images, mais aussi beaucoup le dossier du patient car les images seules ne disent pas tout

 

Quelle est la critique la plus fréquente que vous recevez ?

• Exigeant

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Comment vos collègues vous décriraient-ils ?

• Sage

• Persévérante et optimiste.

 

Si vous aviez dû vous spécialiser en quelque chose d'autre, que serait-il et pourquoi ?

• Oncologie medicale en raison de  la prevalence des cancers et aussi des avancees importantes dans le traitement

• J’aurai été malheureuse, c’est ce que je voulais vraiment faire ! Probablement la radio-oncologie, pour le côté oncologie / physique / multi-organe qui correspond à ce que j'aime.

 

Est-ce que votre spécialité supporte bien les blagues au travail ?

• Oui, heureusement

• Oui !

 

Les étudiants/résidents vous font-ils parfois sentir dépasser ?

• Oui

 

Si votre spécialité devait avoir une relation sentimentale avec une autre laquelle choisirait-elle ?

• Medecine interne

• L’oncologie, sans aucun doute.

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Quelle est la spécialité que vous ne feriez jamais? Pourquoi?

• Soins intensifs. Je n’aime pas travailler sous le stress constant.

 

Pendant vos études en médecine, que faisiez-vous un vendredi soir ? 

• Relaxer, voir des amis, etc. Il y a beaucoup de matière à étudier en médecine nucléaire (comme dans toutes les spécialités) mais il est facile d’avoir une bonne conciliation travail-famille. 

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Quelle est la critique la plus fréquente que vous recevez ? 

• Je n’ai pas reçu de critique récurrente à titre personnel. Comme spécialité nous avons des examens très sensibles, donc nous trouvons souvent des choses de façon fortuite. Les cliniciens peuvent nous reprocher ces fortuitomes.

 

Les étudiants/résidents vous font-ils parfois sentir dépasser ? 

• Pas encore, mais ils me poussent à me perfectionner.

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Combien d'heures de travail par semaine en moyenne ?

• Au maximum 40 heures (activités académiques et clinique). Pour la clinique seule, aux alentours de 25-30 heures typiquement. Pour les journées académiques, ça dépend des tâches de chacun, mais ces journées ne sont pas nécessairement remplies. Ce sont des journées très flexibles côté horaire, alors chaque nucléistes dispose de ses journées académiques comme il le désire. Nous sommes de garde environ une semaine sur cinq 24h/24 x 7 jours. Mais en réalité nous ne recevons pratiquement jamais d’appel de soir ou de nuit et les journées de garde de fin de semaine s’effectuent à distance (nous avons les logiciels pour lire les images sur nos ordinateurs). Bref, côté qualité de vie, les horaires de la médecine nucléaire sont parmi mes meilleurs de la profession médicale !

 

Qu'est-ce qui vous déplaît le plus dans votre pratique ?

• Lorsque je reçois une requête d’examen sans renseignements cliniques utiles, ou si ceux-ci sont illisibles...

 

Quelles sont les difficultés, les aspects les moins agréables que vous rencontrez dans votre spécialité?

• Principalement les évènements hors de notre contrôle qui nous empêchent de travailler : pénurie de personnel technique, pénurie de radiopharmaceutiques, produits discontinués par les pharmaceutiques car la médecine nucléaire est un petit marché pas trop lucratif pour les molécules plus anciennes (mais encore utiles). Des évènements qui ne sont pas si rares. Et, comme dans toute spécialité, devoir mettre du temps encore et toujours pour convaincre l’administration de nous accorder le budget pour de nouveaux appareils nécessaires à la pratique et pour l’achat des radiopharmaceutiques novateurs.

 

Quelle voiture conduisez-vous ? 

• SUV ; car c’est versatile ! utile pour transporter du matériel de sport, pour transporter des matériaux lors de travaux extérieurs, et agréable à conduire sur la grande route. Peu d’intérêt pour les voitures sport.

 

Comment planifiez-vous vos vacances ?

• Souvent elles sont arrimées avec un congrès scientifique international, mais sinon ce sont de nouvelles destinations à explorer localement ou dans le monde. Habituellement nous avons tous 3 semaines de vacances en été (parfois difficiles à céduler car nous voulons souvent tous les mêmes semaines !) et quelques semaines de vacances à prendre à notre guise dans le reste de l’année.